Bonne lecture et bravo à leurs auteurs !! lepompadour : Salut moi c'est Villy...
A présent j'habite chez une vieille personne nommé Jean-Marie...
Et je suis heureux pour un cheval de dix-huit ans...
J'ai fait une belle vie...
Mes deux premières années se sont passées chez mon éleveur qui m'a laisser au pré avec mes camarades...
Mais un jour j'ai été vendu à un centre équestre nommé Le Domaine Rose.
C'était étrange au départ pour moi...
Il me métaient dans un rond de longe et me fesais tourné en rond avec une selle qui pesée lourd...
Mais au bout d'un mois je me fesais monter par des gens trois fois par jours...
j'étais heureux...
Je changais tout le temps de propriétaires...
Beaucoup revenaiant me voir pour me donner des friandises en me caressant...
Et je fesais des compétitions j'étais aimé...
Mais la directrice du centre a voulu pour moi une bonne retraire et m'a vendu a un monsieur qui me fesais faire une compétition chaque jour nous prenions le van tout les jours j'avais mal...
Et pendant deux ans ce fut comme ça...
Et un jour nous sommes allez concourir au Domaine Rose où nous avons étaient 10ème et la directrice a porté plainte comme quoi je devais être à la retraite...
Et le propriétaire a perdu devant le jury...
Je revains au Domaine Rose et je resta 6mois et 4 jours là-bas...
Puis Jean-Marie m'a acheté malgrès mon age...et maintenant j'ai une retraite heureuse avec Klaki un étalon simpatique de 18ans...
geocarord (la gagnante du concours) :
Bonjour, je m'appelle Speedy et je vais vous raconter mon histoire.
Je suis une petite ponette baie avec un tempérament de cochon ... enfin, ça c'est ce que je laisse croire à la majorité des gens.
Vous devriez voir leur tête lorsqu'ils me courent après dans le pré. J'ai inventé au moins 100 stratagèmes pour leur échapper à chaque fois. Et je ris intérieurement de les voir pester, s'égosiller, tomber et finalement repartir avec un autre poney.
Quelque fois, je me laisse emmener et je joue à faire tomber les enfants qui me montent. Je sais, ce n'est pas bien, mais je les fais tomber doucement. Ma spécialité ... m'arreter et baisser la tête. Et hop, un petit tour de tobogan.
Jusqu'au jour où on demanda à deux personnes de me remettre dans le droit chemin. Mission impossible en quelque sorte.
Ma première surprise a été de les voir arriver gentiment dans le pré, les poches pleines de carottes et de s'assoir pour discuter entre elles. Ca m'a intriguée. Je voyais mes compagnons aller les voir et repartir avec une carotte et une caresse. Si bien, qu'au bout d'un bon moment, je suis allée voir si moi aussi j'y avais droit. Oh grande joie, j'en ai eu une. Peu après, elles sont parties.
Les jours d'après, elles ont refait la même chose sans jamais chercher à m'attraper, ma confiance a peu à peu augmentée et dès que je les voyais arriver j'allais glaner une carotte, des caresses et des mots doux.
Puis un jour, elles m'ont remmenés avec elles, et m'ont gentiment pansée au soleil en me donnant quelques granulés. Que c'était agréable. Au bout d'une heure, elles m'ont tenues en longe et laissée brouter sous le pommier avant de me ramener au pré. La même chose est arrivée plusieurs jours de suite.
Et enfin, l'une d'elle a commencé à me monter régulièrement. Toujours la main juste, le mot réconfortant, la récompense à chaque bonne action. Vous devriez voir les progrès que j'ai fait, vous seriez étonnés. Avec de l'amour et un coeur gros comme ça, on arrive à tout.
C'est comme ça que moi, Speedy la rebelle, j'ai fini par donner mon coeur. Je sais que j'aurai pour toujours une place dans le leur.
Du haut des nuages que j'ai rejoint très jeune, je garde un oeil attendri sur elles, les regardant évoluer et grandir, devenir des adultes et fonder leur famille.
golotte :-Monsieur ! Monsieur ! On a un problème...
-C'est Rebelle ?
-Oui, elle fait encore des siennes. Elle a mis à terre son cavalier et maintenant elle se cabre et s'enfuie à l'autre bout de la carrière quand on s'approche d'elle.
-Appelles Marie, elle saura quoi faire.
Marie était une jeune fille de 15ans, passionnée par les chevaux et tout ce qui allait avec, comme l'équitation. Elle travaillait comme palfrenière chez M. Durand, le propriétaire d'un ranch contenant cinquante et un chevaux. Sont travail lui plaisait beaucoup, bien que son patron ne soit pas toujours aimable.
Elle était en train de nettoyer le box de Pirate ( un hongre pie-noir ) quand Gérard, le moniteur, vint la chercher.
-Vient à la carrière, lui dit-il.
Quand elle y fut arrivée, la scène qu'elle y vit était des plus risibles. Tous les cavaliers avaient mis pieds-à-terre de peur de faire comme le cavalier de Rebelle: passer par-dessus l'encolure. Tout le personnel du ranch courait après la jument, qui semblait beaucoup s'amuser aux dépends de ses poursuivants. Rebelle était une jument Arabe de robe blanche. C'était la préférée de Marie. En fait, elles étaient devenuent amies. Marie avait rassuré la jument, un jour ou sont maître l'avait fouettée. Depuis, Marie pouvait la monter sans aucun problème. Cette fois, elle s'approcha de Rebelle tout doucement, le bras tendu vers elle. La jument tendit l'encolure et toucha sa main du bout du nez. La jeune fille attrapa ses rennes et dit:
-Je vais la calmer.
Elle mit un pied dans l'étrier et l'enfourcha. Elle fit un tour de carrière au pas, puis un au trot. Elle sauta quelques barres ( au trot également ), puis elle passa au galop. Elle fis quelques figures. Et tout ça, sans avoir perdu le contrôle de la jument. Quand elle voulut la rendre à son cavalier, il s'écria:
-Non, je veux un autre cheval !
-Vas la remettre au box, Marie, dit M. Durand.
Elle pris la jument par la bide et s'éloigna vers les écuries. Elle la dessela, la pansa tout en lui parlant, puis elle la remis dans son box. Elle la regarda longuement. Elle était magnifique, avec sa robe lumineuse et ses doux yeux noisettes.
-J'aimerais tant que tu soit à moi... confia la jeune fille à l'oreille de Rebelle, avant de s'éloigner.
Le lendemain, Marie eut une surprise très désagréable: Gérard lui appris que Rebelle était vendu. "Tu peux aller lui dire adieu, elle n'est pas encore partit", lui avait-il dit. C'est ce qu'elle s'empressa de faire. La jument avait un regard triste, comme si elle savait ce qui l'attendais. La jeune fille lui carraissa la chanfrin, les larmes aux yeux. Jamais elle n'avais pensé qu'un jour elles seraient séparées.
-Je t'aime... Je ne veux pas que tu parte... lui dit-elle.
Puis elle éclata en sanglots.Elle se retourna et partit en courant. Elle fonça sans s'arreter jusqu'à chez elle. Elle frappa à la porte, sa mère vint lui ouvrir, et Marie passa sans rien dire devant elle. Elle monta s'enfermer dans sa chambre. Elle entendit des bruits de pas dans l'escalier: sa mère montait. Elle lui demanda ce qu'il lui arrivait; alors la jeune fille lui raconta l'histoire.
-Ah, ce n'es que ça, fit-elle en rigolant.
Et elle redescendit sans un mot de plus. Marie, contrariée par la réaction de sa mère, décida de ne plus sortir de sa chambre de toute la journée. Elle finit par s'endormir, vers 8h30 du soir, sans avoir mangé. Quand elle se réveilla, il était 10h00 du matin. Quelqu'un toquait à sa porte:
-Marie ! Marie ! Viens en bas, j'ai quelque chose à te montrer, disait sa mère.
-J'arrive... gromela-t-elle.
Elle s'habilla vite-fait et descendit dans le salon.
-Suis moi ! lui dit sa mère en la voyant entrer.
Elles allèrent toutes les deux dans le jardin, et sur la route... Il y avait un van. Un henissement retentit à l'intérieur. Marie ouvrit de grands yeux: elle reconnaissait.. Rebelle ! Elle sauta au cou de sa mère et l'embrassa. Elle comprenait maintenant pourquoi elle avait dit ça, la veille. Elle ouvrit la porte du van et calina sa jument. Sa jument à elle.
£un@ :Il était une fois, une jeune fille du nom de Fanny, qui était peste, garce, et qui détestait toute forme animale. A l'école, c'était la kaïd du groupe, elle maltraitait ses petits camarades, elle rackettait en gros, c'était une délinquante.
A 10 ans, toujours sans avenir autre que la violence, elle se promenait dans la rue avec des copines à elle, et elle entendire un hennissement lointain. Fanny qui crachait à chaque fois qu'elle entendait ou voyait à animal, dit à ses copine de la suivre. Elle se dirigeait vers le pré où elle vit une petite pouliche seule, qui hennissait à s'en décrocher les poumons. D'environ 3 jours elle était frêle et toute petite, tenant à peine sur ses jambes elle essayait de trotter. Des qu'elle vit Fanny, elle s'approcha quémandant une caresse, et celle-ci la gifla. La pauvre pouliche eut tellement peur qu'enne s'en alla trébuchant au fond du pré.
4 ans plus tard, Fanny n'ayant pas changé, se promenait dans son village quand elle réentendit le henissement, le même en plus fort d'il y a 4 ans plus tot. Seule, elle alla jusqu'au pré, ou elle vit la jeune jument, si forte et si impériale. La jument s'approcha et elle la claqua, et là, la jument attaqua Fanny, qui était en haine, elle rentra dans le pré mais la jument se cabrait, ruait. Le propriétaire jeta Fanny en dehors du pré et criant sur elle.
[...]
Le temps passa et Fanny se retrouvait en camp de concentration, d'où elle avait fait une fugue. Là, elle était au bord d'une mini falaissa, surplonbant un torrent où il y avait une grande chute d'eau.Se savant coursée par le surveillant, elle tenta de passer sur un tronc, et là elle trébucha et se ratrappait avec un bras, puis elle entendi un triple galop : c'était la pouliche, sans cracher, elle fut surprise de constater plus tard qu'elle n'avais jamais tant rêver l'arrivée de cette jument. La jument se rappellant d'elle, le oreilles en arrière, elle attendit, mais elle (la jument) commençait à s'impatienter et tenta une approche du tronc, mais Fanny, épuisée tomba dans le torrent : alors la jument galopa cote à coté avec Fanny, plongeat dans le torrent et ratrapa Fanny, épuisée à bout de force, elle rua se qui projeta Fanny sur la Terre ferme, mais la jument omba dans le chute d'eau.
Savant ce qu'il s'étit passée, Fanny se sentait bizarre, et elle se mit à pleurer. Mort pour elle, cette jument l'avait sauvé alors qu'elle l'aait elle-même maltraité.
Et là, vous le savez tous la suite ! elle aima à jamais les chevaux et fut à jamais la plus gentille que son village n'ait jamais eu.
Morale de cette histoire
"Ne fais de ton ennemi ceux que tu voudra qu'ils soient ton ami, plus tard, quand tu auras besoin de lui"
cissy_68 : Il était une fois une ponnette du nom de Etoile,mis au monde en France un poulain trop faible pour survivre.
Tout le monde pensait qu'il allait mourir,sauf une fille:Barbara.
Un soir,elle entendit son père appeller le véto du coin et elle l'entendit dire que c'était pour abréger ses souffrances.
Elle entra dans la pièce et hurla à son père:<<Ne fais pas ça je t'en prie,laisse moi m'en occuper et si dans 3 mois,il n'a pas repris de forces,tu pourras rappeler le véto!!>>
Le père accepta le marché,et tout les soirs la jeune fille s'occupa du poulain.
3 mois s'écoulèrent à une vitesse incroyable.
Le soir,le père de Barbara se rendit dans l'écurie pour voir le poulain,et il en resta bouche bée:le poulain avait parfaitement récupéré ses forces et elle demanda à son père si elle pouvait le garder.
Il accepta.
Elle l'appella Eclipse,car il avait une petite éclipse en tête.
Des années s'écoulèrent,et à présent elle pouvais le monter.
Elle le chevauchait le soir quand la nuit tombait pour de grandes chevauchés.
Et un soir,il s'imagina ce qui se serais passé si elle ne l'avait pas sauver.
Et puis un soir,elle entendit son père dire à sa mère :<<Il nous faut vendre tous les animaus de la ferme.Y compris Eclipse.>>
Sur ces mots,elle amena quelques affaires et un énorme ballot de nourriture ainsi que de l'argent,quelques brosses et 2 licols.
Elle alla chercher Etoile et Eclipse.Elle mit ses affaires sur Etoile et monta sur Eclipse.
Et elle partit à une destination inconnue.
La légende raconte que Barbara et ses deux chevaux vinrent habiter en Australie,en traversant océan en bateau et galopant dans les plaines.